22.1.09

En pause à la terrasse du Tropicaoua

La nuit précédente, un magnifique affreux-cauchemar m'avait anéhantée: nous étions deux enfants nous échappant d'une maison en ruines, hargneusement poursuivis par tous les habitants du quartier. Encore un coup d'Aïcha Kandicha, ce genre de rêve qui vous arrive comme un spam dans une mailbox. Du prémonitoire de la mort qui tue, du prémouritoire, disons.... J'allais foncer à contrecourant d'une société très patriarcale (mais si, quand même!), me jeter dans la gueule du maure, le caresser en contresens du poil, me la jouer king kong théorie avant l'heure et j'en étais (sub)consciente!

En y repensant, il n'y a qu'un mot à dire: nèrrrrri*!
Avant de raconter la suite, il n'y a qu'une chose à faire: une pause!

Permettez-moi, lectrices(teurs), de passer du "coca light" et de m'attabler quelques instants à la terrasse de la piscine Tropicaoua...

nèrrrrri: misère!